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28/09/2008

La raison,la science et la pensée libre

UNE PHILOSOPHIE DE NOTRE TEMPS

Il fut un temps où les gens cherchaient dans les étoiles des réponses à leurs problèmes.
Il fut un temps où les gens se pressaient auprès des sorciers et des magiciens pour la guérison de leurs proches ; un temps où la vie et la mort étaient suspendues à l'appel aux dieux et à un sacrifice rituel.
Il fut un temps où les gens étaient assujettis aux rois ; un temps où les hommes et les femmes étaient soumis à la torture, et même brûlés sur le bûcher, au motif de leurs croyances.
D’habitude, nous reléguons de telles pensées arriérées au rang de témoignages du passé de nos ancêtres qui étaient privés d’instruction, «des gens d’il y a longtemps et qui ne pouvaient s’appuyer sur rien de plus adéquat »
En fait, ce vieux mode de pensée, cette ignorance, imprègne toujours notre société d'aujourd'hui.
De nombreuses personnes continuent, aux États-Unis et partout dans le monde, à se référer à de vieilles croyances pour décider de ce qui est bien et de ce qui est mal pour eux, pour déterminer qui aimer, et qui haïr.
Ces personnes persistent à s'appuyer sur des textes anciens pour élaborer leurs politiques et pour guider leurs nations.
A cet âge de la modernité, nous devrions avoir de meilleures bases de savoirs.
Or nous avons ces meilleures bases de savoirs. Ce sont les outils et les méthodes de la pensée scientifique qui ont étendu la connaissance que nous avons de la vie et de notre place dans cet univers.
Cette connaissance, fondée sur l’expérimentation et la vérification des hypothèses, sur le recours au naturel plutôt qu’au surnaturel, a apporté d'énormes bienfaits à l'humanité.
Les valeurs de la science nourrissent notre curiosité et nous encouragent à rechercher de nouvelles informations sur notre monde. Elles nous donnent la liberté de poser des questions et nous ouvrent à l’examen de nouvelles et de meilleures options.
De la médecine à l'industrie, à la démocratie, les valeurs de la science nous ont permis de remettre en question ce qui était établi, d'apprendre, de nous adapter et de prospérer.
Pour les décennies à venir, nous avons des défis sérieux à relever et des décisions politiques importantes à prendre, des décisions difficiles, sur l'énergie et le changement climatique, sur les bio- et les nano- technologies, sur la surveillance et la protection de la vie privée, sur la mondialisation économique et culturelle.
Il ne suffira pas à de croire, d’émettre des vœux, ni encore de prier, pour trouver des solutions. Nous avons de vrais problèmes qui exigent de vraies réponses. Il fut un temps où le dogme, la superstition, et la pensée magique étaient le mieux de ce que les humains pouvaient mobiliser, mais ce temps est révolu.
Aujourd’hui est venu le temps de la raison, de la science, et de la pensée libre.


Ce texte est extrait d'une vidéo publiée par le Center for Inquiry, traduit et diffusé sur le réseau internet Brightsfrance par Michel Naud, président de l'AFIS (Association Française pour l'Information Scientifique).

 

contre

 

 

 

 

27/09/2008

Xavier Darcos et Bac +5

Etrange Xavier Darcos dit qu'il n'y a pas  besoin d'un bac +5 pour enseigner en maternelle.

Pour l'instant il n'y a que des bacs +3 ! Au maximum.

Personnellement, je suis d'accord , je connais pleins d'enseignants qui n'ont pas Bac +5 et qui s'en tirent à merveille!

Les syndicats sont stupides de défendre un bac +5 pour l'enseignement primaire. Bac +3 , oui, mais +5 ?

Bientôt, il n'y aura que des cerveaux grands crus qui auront du travail. Personnellement je pense qu' un cerveau capable d'ingurgiter des années et des années de savoir doit être bien vide au départ.

21/09/2008

SENAT : SANS COMMENTAIRES

Une économie garantie à la France


EXTRAIT de LEXPRESS.FR

Les sénatoriales, c'est dimanche... Faut-il supprimer le Sénat ?
  • Oui, le Sénat ne sert à rien et coûte cher à l'Etat
    52%
  • Oui, son mode de scrutin n'est pas démocratique
    20%
  • Non, il mène des réflexions de fond sur certains sujets
    9%
  • Non, c'est un contre-pouvoir utile à l'Assemblée
    18%
Nombres de votes : 2862

20/09/2008

Les liberaux , les tartuffes de l'histoire.

«Nous sommes à un moment crucial pour l’économie de l’Amérique, a déclaré Bush depuis la Maison Blanche. Etant donnée la précarité de la situation sur les marchés financiers et leur importance vitale pour la vie quotidienne des Américains, l’intervention du gouvernement n’est pas seulement nécessaire, elle est essentielle.» Un revirement complet par rapport aux convictions libérales de son administration.

Un sauvetage de 1000 milliards de dollars

Les peuples élisent de tels hommes politiques, maintenant ils vont payer les milliards de dollars.

Patientez bientôt notre tour, au pays des nuls.

Selon le Wall Street Journal, cela faisait des semaines que le Trésor réfléchissait à une telle solution. Mais il n’osait pas la proposer, de peur que le Congrès soit réticent à socialiser les pertes des banques privées.

Que cachent de telles décisions.

Cela doit être plus dangereux qu'il s'en dit.

Les Etats -Unis voguent au fil de l'eau sans Gouvernail.

Mais voilà que...

Après avoir frôlé le chaos en début de semaine, les Bourses de la planète ont effectué des rebonds historiques. Suivant New York, qui montait de 4 % vendredi soir, Paris s’est envolé de 9,27 %, Londres de 8,84 %, Francfort de 5,56 %. Plus spectaculaire encore, Moscou, fermé les jours précédents, a pris 28,7 % ! De mémoire de trader, on n’avait jamais vu une telle semaine.

Vendredi, Wall Street a été pris d'une nouvelle poussée d'exubérance irrationnelle après la confirmation que la cavalerie, sous la forme de l'État, venait à sa rescousse, et a gagné de nouveau 3%. Les boursicoteurs veulent oublier que le plan de sauvetage doit être encore entériné par le Congrès, et que, comme Bush lui-même l'a reconnu "il comporte des risques".

Les pauv' qui vont payer les impots , ils seront cocus de la finance. Ah,ah,ah,ah,!

Certains représentants et sénateurs craignent une réaction d'une partie de l'électorat populaire contre ce qui peut en effet apparaitre comme une bouée de sauvetage lancée aux nantis. La droite américaine est profondément divisée par la politique pragmatique mise en oeuvre par Paulson et Bernanke, entérinée par Bush, et soutenue pour le moment par les dirigeants démocrates du Congrès, le sénateur Harry Reid et la Speaker de la Chambre, Nancy Pelosi.

Pas d'échappatoire politique, tout le monde semble pour l'intervention.

 

18/09/2008

Alors les liberaux ...Abonnés absents ?

Nous y voilà, les libéraux grands demandeurs de libéralisme, sans intervention de l'état!

Les rois de la libre entreprise pleurent l'intervention de l'état au moment ou les grandes compagnies bancaires et d'assurances sont en liquidation suite à leur exploitation sans vergognes sur la vente des biens immobiliers.

Les exploiteurs d'emprunts sur 30-50 ans.

Ils croyaient que les gens s'endetteraient jusqu'à plus soif. Ce qu'ils ont fait mais... Patatrac... Ils n'ont plus pu payer!

Maintenant, voila les pleurnicheuses professionnelles libérales qui après  un niet d'état pleurent le rachat par l'état des compagnies.

Vive le Bouchisme, vive le libéralisme à tout craint. On en rirait!

A quand Mme Parisot ... pour demander l'intervention de l'état français. Le compte à rebours à commencer!

 

La panique gagne Wall Street

La principale société d'épargne du pays, WaMu (Washington Mutual) est en tête de liste. Elle implore elle aussi une bouée de sauvetage du gouvernement pour l'aider à trouver un repreneur éventuel qui lui épargnerait une faillite certaine. On a appris qu'une troisième grande banque d'affaires, Morgan-Stanley, est elle aussi sur la pente qui a mené Lehman Brothers à la faillite et qu'elle est entrée en discussion avec la banque Wachovia en vue d'une fusion en forme de sauvetage. Même la valeur la plus sûre de Wall Street, Goldman-Sachs, est "sous pression", selon la litote pudique employée par des commentateurs soucieux de ne pas affoler le boursicoteur.

 

Attention, amis, à vos petites liquidités dans vos banques.